we're the governement ;C. Darla Wellington
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| Sujet: DARLA ♠ blabla Dim 17 Oct - 21:51 | |
| WELLINGTON, CÉLESTE DARLA.23 ans • we're the government • membre de la division Perséphone • célibataire BLEND BY COLORBLIND.INFORMATIONS GÉNÉRALES ♠ ÇA C'EST MON (SALE) CARACTERE.Décrire en une dizaine de lignes le caractère du personnage. Personne n'est parfait alors évitez de lister uniquement des qualités. La réciproque est vraie aussi. Même si votre personnage est un parfait salaud, il a surement des qualités bien cachées. ♠ MAIS QUI SONT-ILS ?Ici c'est votre monde et vous n'étiez pas près de vous doutez qu'il en existait un autre. Comment réagit votre personnage face à l'arrivée de ces nouveaux habitants ? Se rallie-t-il au gouvernement pour les traquer et les faire emprisonner, ou bien, au contraire, les aide-t-il à se cacher ? 5 lignes minimum. ♠ MON "RÉEL" C'ÉTAIT...Mais qui était votre "réel" ? Quel genre de vie menait-il ? Était-ce un grand homme politique ou un petit dealeur de banlieue ? Que lui est-il arrivé ? (pour les postes vacants et scénarii nous laissons la possibilité de faire un copier coller). 5 lignes minimum. ♠ TELL ME MORE, TELL ME MORE !Afin de mieux nous familiariser avec le personnage, indiquez ici s'il a un quelconque signe distinctif, une manie agaçante ou toute autre information que vous jugerez utile. ♠ ACTIVITÉS SPÉCIALES ?A remplir impérativement par les résistants et les membres de la division Perséphone (et éventuellement les membres du gouvernement ou simples habitants qui ont des prérogatives spéciales). Ici pas de quota de lignes demandé, essayez simplement de nous décrire comment vous êtes devenus résistants/membres de la division Perséphone et quel est votre place dans tout cela. ♠ EXEMPLE DE RP ;- Spoiler:
La matinée avait été riche en rebondissement, c’est le moins que l’on puisse dire. J’avais fixé un rendez-vous professionnel avec Marco afin de piéger ce dernier pour qu’il me révèle les informations clefs qui me permettrait à obtenir un chef d’inculpation à son encontre. Malheureusement, en chemin, je m’étais rendue que la tâche serait bien plus complexe qu’il n’y paraissait. Marco avait beaucoup de défauts mais il n’était pas totalement con. Au contraire, quand il s’agissait de couvrir ses actes criminels, il était très doué. Trop pour me faciliter les choses. Mais, de toute façon mon métier n’était pas sensé être facile. Que serait l’espionnage sans une perpétuelle prise de tête et un taux d’adrénaline toujours élevé au seuil maximum ? Du coup, la prudence de Marco, m’avait poussé à chercher une solution alternative. Pour qu’il me lâche les informations que je voulais savoir, je devais, dans un premier temps, regagner sa confiance. Je pensais que cela serait plutôt simple au vu des derniers éléments qui avaient été portés à ma connaissance. Si Marco ne m’avait éloigné de sa vie que dans le but de me protéger, c’est qu’il tenait encore à moi et qu’il avait toujours confiance ne moi. Tout ce que j’avais à faire, c’était trouver un moyen de renouer le contact. C’était d’ailleurs assez paradoxal quand on y pense. Ce qui allait me permettre de me rapprocher de Marco pour l’envoyer en prison était les sentiments qu’il avait pour moi. Or, ce qui allait sans doute me porter préjudice dans cette mission c’était que ce dernier tenait tellement à moi qu’il était prêt à tout pour m’éloigner de sa vie. Comment se rapproche-t-on d’une personne qui essaye de vous protéger en coupant les ponts avec vous ? Dur, dur… Moi j’avais opté pour l’option : ma mère est morte. Marco avait perdu ses parents très jeune ce qui le rendait naturellement sensible à ce genre de deuil. Quelque part au fond de moi, j’étais certaine que si je me montrais fragile et pathétique, il se sentirait obligé de jouer les chevaliers servants. Je sais pas si cela provenait de ses origines italiennes ou de son côté misogyne – le premier n’allant pas sans l’autre – mais le fait est qu’une vague étude sommaire de la personnalité de Marco m’avait permis de comprendre une chose capitale : il aimait sauver les demoiselles en détresses. En tout cas il aimait me sauver moi. Ça avait commencé avant même qu’on ait une vraie relation de couple. A l’époque ou l’on était simplement des amants, il s’entêtait à prendre ma défense face à ses hommes de main. Ces-derniers estimaient qu’une femme n’avait pas sa place dans la mafia, et Marco calmait leurs ardeurs. Je lui en avais souvent voulu de me faire bénéficier d’un traitement de faveur. Me traiter différemment des autres n’allait faire qu’accroitre leur haine. Mais, là encore, il ne me laissait pas mon mot à dire. Selon lui j’étais trop faible pour pouvoir me défendre seul. C’est du moins ce que ses actes me faisaient comprendre. Alors jouer la fille émotionnellement perturbée qui ne sait plus ou elle en est et qui vient de perdre sa mère augmenterait surement l’envie de l’italien de me protéger. Si je n’avais pas du jouer la dessus pour l’envoyer en prison, j’aurais pu trouver ça absolument attachant. En l’occurrence, tout ce qui m’intéressait dans son comportement c’était exploiter ses faiblesses. Oui, oui c’est ça je suis une garce manipulatrice sans cœur. Que voulez vous, c’est le métier qui veut ça. Et puis dois-je vous rappelez que la situation était simple : Marco en prison ou moi six pieds sous terre ! Désolé mais même si on avait eut une chouette relation de couple – pour le peu qu’elle a duré – mon choix était fait. Et Marco avait sa part de responsabilité dans ce choix, d’ailleurs. S’il était venu me trouver directement pour me dire le chantage que son oncle lui faisait subir, alors jamais je n’aurais passé six mois à nourrir une profonde haine envers lui. Le fait est que maintenant mes sentiments étaient extrêmement confus. Je ne savais plus ou se trouvait la limite entre l’amour et la haine. D’ailleurs l’avais-je seulement vraiment aimé ? Cela faisait si longtemps que je ne m’étais pas posée la question que j’en avais oublié la réponse. Je lui avais dit pendant l’accident. Mes derniers mots furent « je t’aime ». Mais aujourd’hui ? Si on était à nouveau impliqué dans un accident, serais-je capable de les lui redire ? Probablement pas… Je ne sais pas !
Tout ça c’est trop de questions. Des questions que je devais censurer. Le MI6 ne me payait pas pour réfléchir mais pour agir ! Si un jour la vie devait se résumer à lui ou moi, je devais choisir « moi ». Si on se retrouvait l’un en face de l’autre, une arme braquée l’un sur l’autre, je devais tirer. On m’avait formé à ça. Tirer d’abord, réfléchir ensuite. Si je réfléchissais d’abord et que lui tirais et bah c’était trop tard ! C’est con comme raisonnement mais pourtant c’est logique. Quand on est espion il n’y a pas de place pour les sentiments. Si on veut aimer quelqu’un alors il faut faire un choix. L’amour ou le MI6. Qu’on se le dise : personne ne pourrait jamais avoir les deux ! Si on vous dit que c’est possible alors de deux choses l’une : ou la personne vous ment pour vous recruter, ou elle se ment à elle-même. Dans les deux cas ne croyez jamais ce genre de discours. Car, au fond, avec qui pourriez vous partager votre vie ? Un civil à qui vous serez obligé de mentir constamment car si vous le mettez au courant de vos activité, soit il vous plaquera, soit il se fera tuer ? Un collègue qui aura au moins autant de secrets que vous et qui ne vous fera presque pas confiance car, c’est bien connu, on ne peut jamais avoir confiance en un espion ? Ou une cible, un criminel que tôt ou tard vous devrez condamner ou exécuter ? Non l’amour conforme à la vie d’espion, il y a que dans les fictions ou l’on voit ça ! Alors, aussi appréciable que fut ma relation avec Marco, il était temps que je prenne conscience qu’elle n’aboutirait nulle part. Et le baiser de la gare n’y changeait rien. Ce baiser, sur le moment sincère, n’état qu’un leurre. Le mafieux l’avait surement cru profond, passionné et rempli de désirs et d’impatience, et il l’était surement, mais au fond ça n’avait pas d’importance. Ce baiser je l’avais extorqué par le biais de manœuvres dolosives alors, selon la loi, ça ne comptait pas. Le dol consistait à duper sciemment son interlocuteur pour le forcer à faire quelque chose sans qu’il ait toutes les données nécessaire à un consentement éclairé. C’était exactement ça ! Marco m’avait embrassé car je lui avais sciemment laissé croire que ma mère était morte et que je n’étais qu’une pauvre petite fille fragile. S’il avait su la vérité, alors, en toute logique, on pouvait affirmer qu’il n’en aurait rien fait. Enfin, inutile de tergiverser là-dessus. Le fait est qu’il m’avait embrassé et que c’était un très bon point pour moi. Jouer sur ce baiser et les sentiments qu’il avait fait transparaitre dedans, me permettrait sans doute de faire tomber sa carapace. C’était une petite ouverture qu’il n’appartenait qu’à moi de transformer en gouffre. A condition, bien sur, de saisir cette opportunité le plus rapidement possible
Quand il m’avait laissé à la gare après le susnommé baiser, j’étais directement rentrée chez moi. J’avais besoin de me concentrer sur mon plan et sur la phase 2 de celui-ci. Maintenant que nous avions échangé un baiser, qu’allais-je pouvoir faire ? Déjà, aller chez lui. Oui c’était un bon point de départ. Par ailleurs, il ne fallait pas que je réfléchisse à un plan trop élaboré, sinon, mes actions n’auraient pas l’air naturel. Oui, c’était décidé, j’irais chez Marco et j’aviserais. J’étais douée pour l’improvisation – preuve en est ce matin – et en plus je faisais preuves de beaucoup plus d’imagination quand j’étais sous pression. Je pris mes clefs de moto par reflexe puis je les reposais dans le vide-poche de l’entrée. A quoi je jouais ? Avec mon épaule, il était hors de question de conduire. Je pris donc mon portable et composais le numéro de la compagnie « yellow cab », les taxis jaunes qui contribuent à la célébrité de New-York. La voiture arriva 10 minutes après mon coup de fil, j’eus donc juste le temps de me faire une retouche maquillage – le mien avait coulé à force d’avoir tant pleuré – et je m’étais détachée les cheveux. Toutefois, j’avais pris le soin de ne pas trop forcer sur le maquillage Moins j’en mettais et plus j’avais l’air fragile. Avant de partir, j’eus la présence d’esprit de prendre mon cachet contre la douleur. Je n’avais pas spécialement mal, mais je préférais prévenir que guérir. Après tout ce n’était pas rien de se faire tirer dessus ! Une fois prête et le temps d’attente écoulé, je descendis au rez-de-chaussée où le chauffeur m’attendait. Je lui donnais l’adresse de Marco et très vite on arriva à destination. A croire que le trafic, fluide pour une fois, cherchait à me faciliter la tâche. Le taxi se gara et je donnais une poignée de billets verts au chauffeur. En sortant, le froid me fouetta le visage. Depuis quand les températures avaient-elles à ce point chutées ? C’était indécent ! De ma main valide je resserrais mon écharpe autour de mon cou et m’avançais jusqu’à la porte vitrée de l’immeuble. Je composais le code et un petit cliquetis se fit entendre. Une chance qu’ils ne changent pas régulièrement ce digicode ! Une fois à l’intérieur, ce fut presqu’un automatisme de me guider jusqu’à l’ascenseur et de monter à l’étage de Marco. J’avais fait ce trajet des dizaines et des dizaines de fois. Il était comme encré dans mon ADN ! Tilt ! Et les portes de l’ascenseur s’ouvrirent sur le troisième étage. L’étage de Marco. Je m’approchais de sa porte d’un pas hésitant. La dernière fois que j’avais pénétrée dans cet appartement, j’en étais ressortie l’épaule en sang. Quelles garanties j’avais de mieux m’en sortir cette fois ? A priori aucune, à part ce baiser.
Je levais ma main et appuyais sur la sonnette. J’appréhendais sa réaction lorsqu’il me verrait sur le pas de la porte. En même temps, il me connaissait suffisamment pour avoir su anticiper ça. Il savait bien que je n’allais pas rester sans réagir après un tel baiser. Certes, je n’avais rien fait après qu’on ait couché ensemble, mais c’était différent. Coucher ensemble complètement ivres – bien que cela témoigne d’un désir oppressant de l’autre – n’avait pas la même portée qu’un baiser donné de manière totalement sobre. Et puis j’étais de la veille école, celle qui pensait qu’un baiser laissait, parfois, transparaitre plus d’émotions que l’acte sexuel en lui-même. Comme on dit : « a kiss always means something ». On a beau le nier, on a beau se trouver des excuses : un baiser est un baiser. Si j’étais mariée et que j’embrassais Marco – qui dans mon hypothèse n’est pas mon mari – de la manière dont on s’est embrassé ce matin, certes ce n’était pas de l’adultère mais à peu de chose près c’était pire ! Coucher avec un mec parce qu’on s’ennui au lit, ça n’a pas vraiment les même conséquences qu’embrasser son ex. Bien sur, coucher avec son ex est surement pire que simplement l’embrasser. Mais bon, là encore, inutile de débattre. Les faits étaient là : Marco et moi nous étions embrassés. Un baiser passionné, fougueux et qui venait sceller des mois d’attente. Il y a beaucoup de chose que j’aurais pu dire à Marco à cet instant précis. Beaucoup de phrases toutes faites qui l’auraient convaincu que nous étions faits l’un pour l’autre, que nous l’avions toujours été. Mais pourquoi se contenter de mots, quand un acte concret suffit ? Ainsi, sans lui laisser la moindre chance d’objecter et de me virer, je m’approchais de lui et glissais ma main valide dans sa nuque. Je le regardais intensément dans les yeux, le genre de regard qu’on ne peut pas simuler. Alors, malgré tout ce que j’avais clamé plus tôt, étais-je vraiment à ce point détachée de lui ? Ou bien, profitais-je simplement de l’opportunité qui m’était donnée pour retrouver des bribes de notre couple ? Je l’ignore, mais pour le moment ces détails m’importaient peu… Je collais mon front au sien et effleurais ses lèvres de mienne. Je ne l’embrassais pas immédiatement et laissais un peu de suspense. Car, parfois, c’était ça aussi qui comptait, l’avant-baiser. Le laps de temps pendant lequel nos lèvres se cherchaient mutuellement, notre respiration se saccadait, nos cœurs s’emballaient et nos corps tout entier ne demandaient qu’une chose : ne faire qu’un. Je capturais ses lèvres et l’embrassais passionnément. Mon baiser était sauvage et doux à la fois, un baiser paradoxal pour une situation paradoxale. Mais un baiser très court, trop court à mon gout. Marco détacha ses lèvres mais les miennes cherchaient déjà son contact à nouveau. Toutefois, je cessais ça lorsqu’il se mit à parler. Ce n’était pas poli d’essayer de voler un baiser lorsque l’autre essaye d’établir le dialogue. Marco me demanda pourquoi je ne pouvais pas simplement partir. J’interprétais et concluais qu’il voulait dire « partir de sa vie ». M’éloigner de lui, surement dans le but d’être en sécurité. Si seulement il savait… S’il savait que je me rapprochais de lui justement pour ne pas me faire tuer, peut être qu’il ne tiendrait pas le même discours. Je le fixais un instant du regard avant de répondre. Que pouvais-je dire face à ça ? Je posais mon index sur ses lèvres pour l’empêcher de rajouter quoique ce soit puis je me mis finalement à table :
« Je sais tout… » je fis une courte pause avant de préciser : « Je sais tout du chantage de ton oncle… » Puis, comme si je devinais qu’il allait me demander comment j’étais au courant, je pris les devant pour répondre : « Comment expliquer l’incohérence des évènements sinon ? Je connais ton oncle, je sais jusqu’où il est prêt à aller pour manipuler et contrôler ses employés ou les membres de sa famille. Je sais aussi qu’un homme qui aurait parié sur notre couple ne se serait jamais tant énervé à cause de ma pseudo-relation avec Tony. Je sais aussi que le baiser de ce matin ne pouvait, en aucun cas être simulé. Plus que tout, je sais que je te manque et tu me manques aussi. Alors je m’en fous, je n’en ai rien à faire de risquer ma vie. Je me fiche bien des menaces de tonton Salvatore, il peut me tuer ça m’est égal parce que t’aimer sans pouvoir t’avoir est une torture plus qu’insupportable. C’est une mort lente et douloureuse. Alors je préfère vivre peu à tes côté que vivre longtemps seule… Et si tu penses que tout ceci a un sens. Si toi-même tu ressens ce malaise et ce manque alors je t’en pris, embrasse moi. Embrasse-moi maintenant. »
Je le regardais sans ciller et laissais ma main là ou elle avait sa place : dans la nuque de Marco. Mon cœur battait extrêmement vite, bien trop vite pour que cette tirade ne soit qu’un énorme mensonge. Non il y avait bel et bien quelque chose entre nous et le nier serait me mentir à moi-même.
ICON BY FOX. | ♠ PSEUDO/PRÉNOM : colorblind. ♠ AGE : 20 ans. ♠ AVATAR CHOISI : Nina Dobrev. ♠ AVIS SUR LE FORUM : ... ♠ PRÉSENCE : 5/7 jours. ♠ AUTRE : |
Dernière édition par C. Darla Wellington le Lun 1 Nov - 13:21, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: DARLA ♠ blabla Lun 1 Nov - 1:28 | |
| ♠ CHARGEMENT DE L'HISTORIQUE... C'est ici que l'on va en apprendre plus sur ton personnage. L'histoire devra être assez développée pour que l'on puisse bien cerner le personnage. Ainsi, même si un minimum de 25 lignes est demandées nous nous réservons le droit de vous demander de compléter.
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