ACROSS THE UNIVERSE
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 SKYE ♦ over the rainbow

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we're the resistance ;
J. Skye Hopkins
J. Skye Hopkins


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SKYE ♦ over the rainbow _
MessageSujet: SKYE ♦ over the rainbow   SKYE ♦ over the rainbow EmptyDim 20 Juin - 13:24

HOPKINS JILLIAN SKYE.
25 ans • 'we're the resistance' • Co-patronne du Shack • célibataire

SKYE ♦ over the rainbow Captur11
BLEND BY POPPY-NOSE.

.
♠ ÇA C'EST MON (SALE) CARACTERE.
Décrire en une dizaine de lignes le caractère du personnage. Personne n'est parfait alors évitez de lister uniquement des qualités. La réciproque est vraie aussi. Même si votre personnage est un parfait salaud, il a surement des qualités bien cachées.

♠ MAIS QUI SONT-ILS ?
...

♠ MON REEL C'EST...
La pire des peste, Jillian était la pire des pestes. Fille unique, élevé par ses deux parents qui lui ont offert tous ce qu’elle voulait, elle est devenue une enfant pourrit gâtée. Vous voyez la peste, la fille super populaire qui se tape le capitaine de l’équipe de football américain dans les films ? C’était Jillian, sauf qu’elle, elle ne se tapait pas que le capitaine. Tous le monde voulait être son amis car sinon vous étiez son ennemi, tout le monde avait peur d’elle. Puis, elle rencontra Hunter, un jeune homme tout à fait à son goût. Ils se sont mit en couple, mais, elle ne pu résister à la tentation de l’infidélité, toujours sollicité. Elle alla même jusqu’à coucher avec Jimmy, Jimmy, le frère d’Hunter. Quand je vous dis la pire des pestes, c’est gentil n’est-ce pas ? Hunter était encore amoureux d’elle, Jillian s’en amusait, elle adore avoir des mecs a ses pieds, elle jouait simplement avec lui. Elle était patronne d’un magasin de vêtement. Jillian est morte, overdose, pendant l’éruption solaire. Elle a sans doute voulut choisir sa mort, la connaissant, elle voulait toujours tout contrôler. Elle alla même jusqu’à s’interdire d’aimer, il y a un côté de Jillian que personne ne connaît réellement. Si c’est parents lui offrait tout ce qu’elle voulait, c’était pour lui faire oublier les disputes à la maison, et pour s’attirer les faveurs de leurs filles. Son père trompait sa mère et vice-versa, un beau bordel dans la famille. Je vous l’accorde, pas une super enfance, mais c’est pas une raison pour être une super salope. Pour ne pas être blessée, elle blesse les autres, elle préfère être détesté qu’aimé. .

♠ TELL ME MORE, TELL ME MORE !
Je suis co-propriétaire du Shack, je vis aussi dans l’appartement du dessus et, j’adore sortir par l’escalier de secours, c’est pas bien mais que voulez-vous ? Je fume, étant co-propriétaire, barman et serveuse dans un bar, je bois aussi. Quand je suis stressée je parle beaucoup trop et certaine choses n’ont aucun sens. Je sais me servir d’armes à feu, d’ailleurs j’en cache une sous le bar du Shack. Je suis la nièce de Harris Colfer, l'ancien chef de la résistantce. A 16 ans, après une agression où j'ai tué mes agresseurs, j'ai été recruté par Perséphone, qui ont tué 1 ans après ma soeur, je me suis donc vengée, et aujourd'hui, ils cherchent a me tuer. Je suis encore folle amoureuse de mon ex.

♠ ACTIVITÉS SPÉCIALES ?
A remplir impérativement par les résistants et les membres de la division Perséphone (et éventuellement les membres du gouvernement ou simples habitants qui ont des prérogatives spéciales). Ici pas de quota de lignes demandé, essayez simplement de nous décrire comment vous êtes devenus résistants/membres de la division Perséphone et quel est votre place dans tout cela.

.
♠ EXEMPLE DE RP ;

Il est là, je ne le vois pas mais je le sens, son odeur, sa présence et tout ce confirme quand ses bras musclés et chaud m’entoure. Quand sa peau rentre en contact avec la mienne la foule autour disparaît. Il est derrière moi, son corps suit parfaitement les courbes du mien. Il fait glisser ses mains sur mes bras où mes poils se hérissent puis il continue à me caresser pour terminer sur mes hanches. Je rentre le peu de ventre que j’ai, lèves les bras et passe le gauche derrière sa nuque. Je ne vois pas son visage mais peu importe car je le connais trop bien, je ferme les yeux et je nous imagine, au milieu de la piste en train de se déchaîné sur le chanson qui passe. J’ai chaud, la foule fait vite monté la température et la danse n’arrange rien mais je m’en fiche. Droite gauche droite gauche, je me déhanche puis passe mon deuxième bras derrière sa nuque. Je souris, ses lèvres douces déposent un baisé sur mon cou et je me retourne. Il est là tellement beau, mes mains glissent sur son torses musclés je ralentis mes doigts pour savourer le relief de ses tablettes qui m’ont tant de fois fais fondre. Je ne voudrais pas que ce moment se termine, pourtant, je lui attrape sa main et on sort. Le changement de température ne se fait pas attendre, a peine 100 mètres dehors je commence a grelotté un peu, il me ramène à lui et passe son bras droit autour de mes épaules. Il m’amène près du hangar qui se trouve en face de la fête. Il s’assoit sur les marches, moi je m’assois sur ses genoux. Je regarde la lune et quand mon regard se pose sur lui il me propose une cigarette que je fais glisser entre mes lèvres. Je ne l’allume même pas, je posa ma tête sur son épaule. Il regarde le ciel, et moi j’enregistre une nouvelle fois les lignes de son visage.

Mon bras s’étend cherchant celle qui partage à présent mes nuits mais personne ne repose sur l’oreiller. J’ouvre les yeux lentement puis dans un élan je me roule au milieu du lit, enfouissant mon nez dans l’oreiller de Jillian. Je respire son odeur puis je m’étire. Je ne sais pas quelle heure est-il mais je m’en contre fou. Je repousse la couverture et me glisse a l’extérieur. Je laisse mon peignoir reposé sur le siège de la coiffeuse. Mes pieds me guident jusqu’à la salle de bain. Je me passe de l’eau froide sur le visage pour me réveiller J’essuie mes mains mouillé sur mon débardeur blanc. La température qui règne sur la maison me permet de rester en débardeur et shorty . Je sors de la salle de bain après avoir coiffer mes cheveux et pris mon premier anti-antidépresseur.J'en ai besoin pour ne pas broyer du noire toute la journée et devenir insupporte. Effet secondaire = j'éprouve une fascination certaine fois sur-dimensionné à quasiment tout. Que ce 'tout' soit un chien, les flammes d'un feu de cheminé, une tasse qui tourne dans un micro-onde, ou une abeille qui butine. Je descend les escaliers. Aucun souvenir de la date du jour, ni même du jour, Lundi ? Dimanche ? Samedi ? Peut importe, je travaille quand je veux et où je veux, tant que Beau papa a son article à l’heure. Oui, je l’avoue, j’ai eu se travaille car je suis la fille de la femme du directeur, et alors ? J’ai fais des études comme les autres. Mais j’apprécie certains avantages même si j’en abuse que très rarement. Mais qui refuserait une prime, une augmentation ou une promotion ? Pas moi en tout cas. En tout cas on peut pas dire que je vie pour mon travaille, loin de là, il passe toujours en dernier.

Alors que mon estomac me dit de suivre la délicieuse odeur, mon cœur me dit de suivre le son provenant du salon. Je choisis la deuxième option, mon estomac devra attendre encore quelque minute. Normalement je n’ai pas très faim le matin, et ce matin c’était pareille mais l’odeur m’a ouvert l’appétit. J’avance, la TV est allumée, je m’assoies sur le fauteuil se trouvant à gauche du canapé. Je ramène mes genoux prêt de ma poitrine. Je pose mon menton dans le creux qu’offre mes genoux et mes yeux vont de la télé à Jillian mais s’arrête à cette dernière qui se repose sur le canapé. Je joue avec mes doigts de pieds sans la quitter des yeux. J’esquisse un sourire et ouvre la bouche pour dire mon premier mot de la journée.


« Bonjour ! »

Mes yeux voguent vers la télévision. Je passe mes mains sur mes jambes puis je ramène ma main droit devant ma bouche pour bailler. J’ai peut être élevé que par un seul de mes parents, ma mère mais je suis quelqu’un de très polie, enfin si on retire toutes les insanités que je sors chaque jours. Que voulez-vous des choses moches peuvent sortir d’une magnifique bouche. Je fais glisser ma main sur ma jambe, puis mes jambes sur les sols et je me relève. Enfin, je m’incruste dans le canapé, quand je suis bien installé je me blottis contre Jillian. Je regarde sans réellement m’intéresser aux images qui défilent dans la télé. En faite, mes yeux voguent dans toute la pièce avant de s’échouer sur la fenêtre. Je regarde les oiseaux posés sur leurs cabanes représentant la maison. Dieu sait que je déteste ces petites choses mais je les trouve beaux, sauf les pigeons que je trouve plus que repoussant. J’imagine le son qu’ils émettent. Je reporte à nouveau les yeux sur la boite à images. Sa ne doit pas faire 5 minutes que je suis descendu pourtant j’ai l’impression que sa fait une heure.
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    ♠ PSEUDO/PRÉNOM : Poppy-Nose
    ♠ AGE : 16 ans
    ♠ AVATAR CHOISI : Amber Heard
    ♠ AVIS SUR LE FORUM : C'est vraiment nécessaire?
    ♠ PRÉSENCE : 5/7 jours.
    ♠ AUTRE : cheers


Dernière édition par J. Skye Hopkins le Dim 31 Oct - 20:10, édité 5 fois
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J. Skye Hopkins
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MessageSujet: Re: SKYE ♦ over the rainbow   SKYE ♦ over the rainbow EmptyMar 20 Juil - 22:38

♠ CHARGEMENT DE L'HISTORIQUE...
Pendant 9 jours, la pluie n’avait pas cessé un peu comme les larmes de ma mère. Je m’étais glissé dans une robe noire, que je pensais trop petite. Après avoir ramené mes cheveux en arrière, j’ai quitté mon appartement en passant par la fenêtre, ensuite j’ai descendu à l’échelle. J’ai mis mon sac en bandoulière avant de partir en courant pour prendre mon bus. Malgré ma robe, je portais des baskets, pas très classes mais très confortable. Je suis arrivé pile à temps. Une fois chez ma mère, je suis descendu, j’ai pris la clef caché dans une fausse brique dans le mur. Une fois rentrée dans la maison, les odeurs de ma jeunesse m’assaillir. Rien n’avait changé depuis mon départ, 3 ans auparavant. A première vue la maison était vide mais si on se concentrait on pouvait entendre un léger bruit venant du premier étage. J’ai balancé mon sac par terre et jeta un coup d’œil dans chaque pièce du rez-de-chaussée avant de monter les marches deux part deux. Une seule porte était fermé, je me suis rapproché d’elle et je l’ai ouverte. Une horrible odeur prit possession de mes narines, allongée sur mon lit, ma mère endormit. J’ai attrapé toutes les affaires qui traînait sur le lit, par terre, ensuite je les ai balancé dans la machine a lavé. Revenue dans la chambre, j’ai secoué doucement ma mère pour la réveillé, la première chose qu’elle a fait, c’est prendre des pilules qui dormaient sur la table de nuit. J’ai ouvert la fenêtre, éteint la TV puis j’ai aidé ma mère à se lever. Je suis descendu, j’ai retiré mes baskets pour enfiler des chaussures a talons, mais je me suis rendu compte que j’avais filée mon collant, je l’ai aussi retiré, puis j’ai mis mes chaussures a talons. Une fois remonté, j’ai aidé ma mère à se coiffer, pour ensuite faire de même avec moi, les cheveux en arrière retenue par une vieille pince qui appartenait a ma grand-mère. Nous étions prête depuis 5 bonnes minutes quand, une voiture dans la rue klaxonna. J’aida ma mère à bout de force pour descendre les marches puis un des amis de Bobby prit la relève. Aujourd’hui, la pluie c’était arrêté et avait laissé une magnifique source de lumière, je suis sortit, la première chose que j’ai faite, j’ai levé la tête pour voir le ciel. Puis une silhouette s’est dessinée prêt de la voiture. C’est lui ! Oui j’en suis sur ! Mes pas sont lents, mes talons s’enfoncent dans la pelouse devant la maison puis j’arrive à côté de la voiture. Dans le plus grand des silences, on est resté là bien 30 secondes mais sa m’a parut beaucoup plus long, puis il c’est approché de moi et m’a serré dans mes bras tellement fort que ‘j’ai cru mourir asphyxié. Il était revenu de Londre pour l’enterrement. Il avait 1 ans de plus que moi mais il était tellement plus grand et plus fort. Bobby était revenu, 3 ans sans se voir, une réelle éternité.

Je n’avais pu assister qu’a la mise en terre et encore, j’étais resté très loin du groupe de personne. Ma mère s’en était approché avec Bobby, mais moi j’étais resté loin, prêt de la voiture avec une paire de lunette aux verres teintés et un énorme chapeau qui cachait la moitié de mon visage.


Bobby ▬ « Il se fait tard, tu devrais rentrée, je vais m’occuper de maman ce soir. »
Skye ▬ « Ce soir ? Vraiment ? Merci de prendre le relais ! »
Bobby ▬ « Skye... »
Skye ▬ « Non vraiment, après 3 ans j’ai besoin d’une pause d’un soir. »
Bobby ▬ « C’est pas ça ! »
Skye ▬ « Bien sur que ça l’est ! Tu pars 3 ans puis tu reviens 6 mois et tu repars 3 ans. Et le pire, tu pars pour aller vivre dans un campus d’une université ici même, à Washington ! Aucune visite, rien de toi ! Tu sais combien de Noël maman t’attendais a la fenêtre attendant le fils prodige de la maison ? Elle passe son temps à parler de toi a tout le monde! Elle est si fière de toi et en récompense tu fais quoi ? Rien ! »
Bobby ▬ « Je vais être plus présent maintenant, je te le promet. »
J’étais assise sur le banc sur le palier, mes genoux contre ma poitrine. La nuit était tombé, il faisait frais c’est pourquoi une couverture en laine m’entourait. Bobby était sortit de la maison et c’était assis sur la barrière et son dos contre la colonne qui tenait la véranda.
Skye ▬ « Tu peux mettre tes promesses où je pense. »
Bobby ▬ « Skye arrête de me repousser. Qu’est-ce que je t’ai fais ? »
Skye ▬ « Je pense que tu sais très bien ce qu’il y a. Cathy, tu te rappelle ? »
Bobby ▬ « C’était il y a 6 ans, Skye. »
Skye ▬ « Et alors? Elle était notre soeur! »
Bobby ▬ « Je le sais. »
Skye ▬ « On dirait pas, pourtant! »
Bobby ▬ « Elle n'aurait jamais dû revenir d'où elle était! »
Je posa mes pieds a terre, me mis debout, j’étais a la fois hors de moi, triste, en faite aucun mot ne pouvais traduire mes sentiments actuels. Une haine trop forte, un chagrin trop éprouvant. Je pris la direction de la porte d’entrée, j’ai posé la main sur l’encadrement, puis j’ai tournée la tête sans regarder Bobby.
Skye ▬ « Quand ils ont annoncé sa mort, je me suis sentie coupable, on aurait dû la protéger, on connaissait les dangers et on a rien fait! »

Tire, gauche, droite, pousse ! ! ! ! Toujours le même casse tête pour entrée dans ma vieille chambre, tout y est encore comme le jours où je l’ai quitté. Mes goûts pour la décoration ont changé, heureusement mais je trouve cette chambre charmante, sur un mur des photos sont scotchés, a côté des bracelets de plusieurs boite de nuit sont accroché et des posters de certains groupes morts depuis. Le tapis a gardé les tâches d’alcool et les brûlures de cigarette. Tout a gardé la même place, la même odeur après mettre allongé sur le lit je me relève. Les larmes qui ont coulé avec la discussion sur le palier avec Bobby ont tracé des lignes dans mon fond de teint et elles ont rafraîchis mes joues, maintenant collante a cause du trop plein de larme. Je me relève, jette un coup d’œil dans les tiroirs du bureau, j’y trouve tout et n’importe quoi, puis je me retourne vers l’armoire, j’attrape les deux poignets et ouvrent les deux portes en même temps. Certains de mes vieux vêtements y sont, en faite ils y sont tous. J’attrape une boite en carton, monte dessus et me hisse sur la pointe des pieds j’attrape du bout des doigts un autre carton enfouie au fond de l’étagère du haut, j’arrive a la rapproché avant de la prendre. Je descend du carton et le repousse avec mon pied sous les vêtements je m’assois près de lit, par terre. J’ouvre la boite et là les odeurs déferlent comme une vague sur les rochers. J’attrape le sweet shirt qui y a, le porte a mes narines et m’imprègne de l’odeur qui est indescriptible je l’enfile aussitôt. Je me sens tellement bien, puis j’ouvre une boite en bois, j’attrape la première chose, un collier avec un pendentif, un ange, je le garde dans ma main. Je le serre tellement fort que je sens les ailes rentrées dans ma peau. Puis je prend une photo, elle était si heureuse.

SKYE ♦ over the rainbow Captur10
WELCOME TO PERSÉPHONE


«Attrape cette garce!»

L'homme à terre hurle des ordres a celui qui se trouve de l'autre côté du billard. Il s'approche de moi, je grimpe sur la table et cours de l'autre côté de la pièce. L'homme à terre m'attrape le pied quand je saute de la table, je m'écrase a terre. Mes cris sont largement plus faible que la musique, je rampe le plus vite possible vers la porte mais quelqu'un me tire par les pieds, il n'y a rien au quel je puisse m'accrocher, je glisse sur le sol puis des bras musclés me retournent. Il s'allonge sur moi, mes mains tâtent le sol pour trouver quelque chose, j'attrape quelque chose que je plante dans la carotide de mon agresseur, du sang gicle de sa bouche directement sur mon visage. Je le pousse et me relève, l'homme qui était à terre c'est enfin relevé, il ne jette même pas un œil a son camarade mais se ru sur moi. Je finis plaqué contre le mur, il fait mon double, sa main droite lui suffit à tenir mes deux mains contre le mur. Son autre main parcours mon corps, son regard est vicieux, sa lèvre saigne encore, il m'embrasse. Je tourne ma tête pour éviter ses lèvres. Dans un dernier espoir, je donne des coups de pieds, certains dans le vide mais d'autre semble toucher mon agresseur car il me relâche. Je cours a nouveau vers la porte mais je trébuche sur le corps encore chaud de son coéquipier, et là, je vois parfaitement une arme, je l'attrape et tir toutes les balles dans l'homme encore debout. Je ne peux pas lâcher l'arme, puis je sens qu'on me relève, deux hommes très musclés me tiennent les bras. J'en assomme un avec l'arme, puis j'écrase le pied de l'autre avant de lui donner un coup de coude dans le nez. Je pars en courant, ils ont laissé la porte ouverte, dans le couloir, tout le monde cours, dans la pièce principale de l'entrepôt, le même chahut. Un homme me pointe son arme sur moi, il essaye de me parler mais je comprend rien. Un homme arrive derrière moi et me prend l'arme qui était resté dans mes mains.

«Tu risque gros comparé à tes petits copains, tu as tué deux hommes et blessés deux policiers.»
«Je ne savais pas que c'était des policiers»
«Que faisais-tu dans cet entrepôt?»
«La fête, ça aurait dû être la fête du siècle.»
«Qui étaient ces deux hommes?»
«J'en sais rien!»
«Je vois, tu ne sais pas qui s'étaient, pourtant, tu étais seule, enfermée avec eux. Ton affaire va être vite expédié, une adolescente de 15 ans, mal dans sa peau, drague deux hommes puis les invite dans une salle, loin de la foule, pour faire certaines choses et puis dans un coup de folie, tu les tue. COUPABLE! Avec un peu de change, tu écopera de 30, sinon prison à vie, mais vu que tu es mineur...»
«Ca ne c'est pas passé comme-ça!»
«Comment alors? Jillian je ne demande qu'a savoir!»
«Je voulais sortir ce soir là et un mec du lycée m'a parlé de cette fête. J'avais rien a perdre, alors j'y ai été. Puis, j'ai eu besoin d'un chauffeur pour rentrée, une amie m'a envoyé chercher un certain Presto qui devait ce trouver dans la pièce à la vitre noir du premier. Quand, j'ai ouvert la porte, il y avait ces deux hommes qui jouaient au Billard, il m'ont dit de m'asseoir sur le canapé et que Presto n'allait pas tarder. Puis ils sont venus s'asseoir à côté de moi en me faisant des avances très déplacés, j'ai refusé, mais le plus fort m'a attrapé la gorge et a commencé à serrer alors je l'ai tapé au visage. Il s'est écroulé, la lèvre ouverte. Il a ordonner a l'autre de m'attraper... »
«Très bien Jillian, je peux avoir enfin confiance avec toi, alors, Bienvenue à Perséphone!»
«Quoi?»
«Je savais ce qu'il c'était passé, mais j'avais besoin que tu me le dise. Nous sommes tes nouveaux employeurs»

SKYE ♦ over the rainbow Andsoo10
DEAR SISTER, I CAN'T PROTECT YOU
I'M SORRY


SKYE ♦ over the rainbow Northc10
TOBBY’S STORY


« Il est mort, mais il vit au Texas avec deux chiens. »

Voilà ce qui était écrit sur le tombe de Tobby Saracen, jeune homme de 18 ans, un peu étrange mais toute fois charmant. Il vivait avec sa grand-mère, son père était en prison et sa mère l’avait abandonné quand il avait 8 ans. Il n’était pas timide, seulement renfermé, il n’était pas riche et devait travailler après les cours pour pouvoir s’acheter des vêtements et certaine fois pour mettre un repas sur la table du salon. Je ne sais pas d’où est née cette ‘haîne’ envers lui. Personne ne l’aimait, tout le monde le fuyait en faite, personne ne le connaissait. Personne ne le connaissait comme moi je l’ai connus. J’étais pas la fille idéale, ni l’élève et encore moins la sœur parfaite. Mes notes étaient convenable, j’arrivais toujours a obtenir la moyenne. Mon frère Bobby, faisait partit de l’équipe de football américain, le quaterback, un des meilleurs élèves et un des joueurs les plus prometteurs. Moi, j’étais la petit rebelle, celle qui s’en fou de tout, attirant les convoitise de tout le monde car j’étais intouchable. Je ne faisais partit d’aucun groupe, les cheerleades me détestaient, les génies me fuyaient. J’envoyais les codes vestimentaires valser. Tous le monde me connaissait, mais pas pour la même chose, certains pour être la sœur du grand Bobby Howell, d’autre pour être celle qui s’en fou des règles, envoie tout valser, la rebelle et pour encore d’autre j’étais la fille intouchable, celle qui ne tombe jamais amoureuse, la fille de glace. Les rejetés du monde lycéen voulait devenir mes amis, que je leurs ouvre les portes des soirées, des boites de nuit. J’avais peu d’ami, pour tout dire, j’en avais aucun, juste des connaissances juste le temps des cours.
Ma voiture était accidenté, elle devait resté en réparation deux semaines. Le lycée était assez loin de la maison, et il était hors de question de monter dans un de ces affreux bus jaune. Il avait été convenu que j’aille attendre Bobby après son entraînement et il me ramènerait a la maison. Le printemps était arrivé, il était 16h, les gradins étaient vident, sur le terrains les footballeurs et juste avant les cheerlearders. Je poussais le petit portails et montais les gradins sans faire attention a mon collant qui était déjà tout filé. Arrivé au milieu, je posa mon sac a côté et m’assit sur le gradin froid, nous étions au printemps, il ne faisait pas mauvais mais en tout cas la mini jupe devait être une mauvaise idée. Mon paquet a la main, je pris une cigarette, la portais a ma bouche avant de l’allumer. Je ne sais pas ce qu’on trouve de sexy dans ces pimbêche qui sautent et crient, elles sont ennuyantes. Je portais plus mon attention sur les joueurs musclés. Entre moi et mon frère les règles étaient simple, on ne pique pas les amis de l’autre, on ne couche pas avec les amis de l’autre et on ne tombe pas amoureux des amis de l’autre. Pour lui c’était pas difficile, je n’avais pas d’amis, pour moi la tentation était plus facile, surtout depuis que je savais qu’un de ces amis s’intéressait a moi. La fin de l’entraînement avait sonner. Bobby me regarda apparemment il avait oublier qu’il devait me ramener a la maison. Tim, le fameux copain qui s’intéresse a moi est le premier a passé devant moi :
Tim ▬ « Salut ma belle ! »
Skye ▬ « Salut Tim ! »
Tim ▬ « C’est quand que je t’apprend a jouer avec la ballon ? »
Skye ▬ « Bientôt. »
On échangea un sourire. Entre nous c’était le jeu du chat et de la souris, on se cherche et on se repousse. Mais a ce moment, je garde en tête la règle du ‘pas touche aux copains de l’autre.’. Il m’est donc impossible de répondre a ces avances. Alors que les cheerleaders courent sur le terrains pour rejoindre le joueur qui leurs a été attribué, une d’elle arrive devant moi et attrape Tim par la main. Elle me sourit juste pour être polie, je fais de même, puis elle tire Tim loin de moi.
Skye ▬ « Bonjour Rosana ! »
Une autre cheerleader arrive devant moi, elle a un regard froid et méchant.
La cheerleader ▬ « Elle s’appelle Rosalie ! »
Skye ▬ « T’es qui toi ? »
J’ai dû la vexer car elle part assez furieuse. Mon frère passe sans me porter un regard, il sait que Tim en craque pour moi et il m’en tient responsable. Responsable car je me suis promener en débardeur et en culotte chez moi alors qu’il avait invité Tim, responsable d’avoir squatter le canapé alors qu’il voulait faire une soirée film d’horreur avec Tim. Sur le terrain, il ne reste plus que l’entraîneur, qui me fait un signe de la main, je lui le rend. J’en ai encore pour 20 minutes minimum, avec la douche, le debriefing...
Tobby ▬ « Tu es la soeur de Bobby ! »
Skye ▬ « J’en doute certaine fois. »
Je tourne la tête et là je vois pour la première fois, un jeune homme charmant, debout. Je devine facilement qu’il ne fait pas partit de l’équipe. On échange un regard, puis je tourne la tête pendant ce temps, il s’assoit a côté de moi.
Tobby ▬ « Je suis Tobby ! »
Skye ▬ « Skye, enchantée. »
Tobby ▬ « Je sais. »
Skye ▬ « Pardon ? »
Tobby ▬ « Je sais que tu t’appelle Skye »
Skye ▬ « Ohh, tu es quoi en faite ? Tu es la mec dans la mascotte ? Le plieur de serviette ? Ou tu essaye juste d’être bien vu par Bobby ? »
Tobby ▬ « Aucun des trois heureusement ! Sans te vexer, j’aime pas ton frère ! »
Skye ▬ « On est deux alors. »
On se regarde et on échange un sourire.
Bobby ▬ « SKYEEE! ! ! ! ! »
Skye ▬ « Et merde ! Je suis désolée je dois... Qu’est-ce que tu fais Bobby ? »
Alors que je me relève pour aller rejoindre mon frère qui se trouve en bas des gradins, il pousse le portail et monte les marches deux par deux, alors qu’il est a la moitié, Tim et Ethan, les deux meilleurs amis de Bobby, arrivent en bas des gradins et se mettent rapidement a le suivre. Je ne comprend pas vraiment ce qui se passe, Bobby a la mauvaise tête. Tobby se lève quand Bobby arrive. J’écrase ma cigarette sous mon pied et me prépare a partir alors que Bobby arrive et pousse Tobby.
Bobby ▬ « Reste loin de ma sœur ! Tu as compris, reste loin d’elle. »
Skye ▬ « Bobby ! Tu joue a quoi ? »
Tim ▬ « Viens là Skye. »
Bobby ▬ « Trouve toi d’autre jouet sale pervers ! »
Tim me tient par le bras gauche et me tire loin des deux hommes mais je me laisse pas faire et j’essaie de résister mais j’ai beaucoup de mal. Bobby attrape mon sac et me le lance.
Bobby ▬ « Prend ton sac et on se casse ! »
J’arrive plus a résister, je me retrouve vite a suivre Tim contre mon grès suivit par Ethan et Bobby. Je me retourne plusieurs fois pour regarder Tobby, mais lui ne me jette même pas un œil.
Arriver dans le parking, Bobby et Ethan monte dans la voiture, puis Tim me pousse gentiment. Je me retrouve coincé entre deux sportifs a la carrure imposante.
Un détour au fast food, comme d’habitude, alors que 3 voitures sont devant nous a la file du drive in, les 4 grands gaillards dans la voiture ce mette a rire, un fou rire général ou je ne suis pas invité.
Skye ▬ « Pourquoi vous rigolez ? »
Ethan ▬ « La tête qu’il a fait ! »
Bobby ▬ « Tu as vu ça ! C’était hilarant, j’ai eu dû mal a garder mon sérieux. »
Je regarde Tim, qui rit aussi
Skye ▬ « Ça te fais rire toi aussi ? »
Tim ▬ « Franchement c’était assez drôle ! »
Skye ▬ « J’y crois pas ! Qu’est-ce qui vous a fait pour que sa en arrive à là ? »
Les 4 garçon s’échangèrent en regard que je compris de suite, j’ouvris mon paquet de cigarette, j’en choisis une puis la portais a ma bouche. J’avais oublié mon briquet sur les gradins visiblement. La voiture était toujours a l’arrêt, je me redressais et appuya sur l’allume cigare avant de me rasseoir inconfortablement entre les deux running back.
Bobby ▬ « Tu fume pas dans ma bagnole ! »
Skye ▬ « Vous êtes grave ! Il vous a rien fait ! En faite vous êtes les garces de demain ! Pire que les nana a jupette sur le terrain. Une cruauté sans raison, je suis sur que vous vous rejoignez en secret pour regarder Melrose Place ! »
J’attrapais l’allume cigare et posa le bout rouge contre ma cigarette puis je le fit glisser pour le remettre a sa place. Je me mis sur Tim afin d’ouvrir la fenêtre.
Bobby ▬ « Putain Skye je t’ai dis quoi ! »
Skye ▬ « Oh ! Calme ! je suis sûre que tu lui gueule pas dessus quand Violette décide de s’en allumer une dans ta caisse ! »
Bobby ▬ « Son nom c’est Lyla ! Et non elle fume pas. »
Skye ▬ « Peu importe c’est un nom de fleur ! Elle fume pas ? Tu es sûr ? J’ai dû me tromper alors, j’étais persuader l’avoir vu a la soirée de samedi, oh coïncidence ! Ethan tu y étais !
Bobby ▬ « Quoi ? »
Skye ▬ « C’était pas Lyla avec qui tu étais ? J’étais persuadé ! La fille avait toi avait le même haut rouge sexy que celui que Lyla portait a l’anniversaire de Bobby. Mais oui j’ai dû me tromper, car on sait tous qu’Ethan n’embrasserait pas la fille dont son meilleur pote est totalement amoureux, n’est-ce pas Ethan ? »
La bombe était lancé, ainsi Bobby n’allait plus m’engueuler pour avoir fumée dans sa voiture Fière de moi je poussais des épaules les deux jeunes hommes a mes côtés pour m’enfoncer dans mon siège et admirer le spectacle qu’allait m’offrir mon frère et son meilleur ami

Bobby ▬ « Bouge ton cul si tu veux que je t’emmène en cours ! »
Skye ▬ « Dégage de ma chambre ! »
Le réveil fut difficile, après un tour dans la salle de bain j’ouvris mon armoire, un débardeur un peu trop grand blanc qui laissé apparaître mon soutien-gorge noire, la même mini jupe qu’hier, des collants filés pour le style ‘jemenfoutisme’ et des bottes noirs. Une fois mes affaires de cours dans le sac je descendis les escaliers, pris en vole deux pancakes et direction la voiture. Une fois au lycée, nos routes se séparèrent sans même un mot. Les cours commençait que dans 20 minutes, j’allais errer dans les couloirs, puis je le vu, et m’approchais de lui.
Skye ▬ « Désolé pour hier ! »
Tobby ▬ « Je suis habitué. »
Skye ▬ « Il est vraiment con quand il s’y met et en plus il était encourager par ses amis, mais si tu veux savoir j’ai foutu la merde en revenant. »
Tobby ▬ « Merci de me venger. »
Skye ▬ « C’est pas pour toi, j’ai pas aimé qu’il se permette de choisir avec qui je peux sortir. »
Tobby ▬ « Tu veux sortir ce soir ? »
Skye ▬ « Avec plaisir ! »

Je me suis très vite affichée avec lui, je ne sais pas vraiment pour qu’elle raison, au début sans doute pour faire enrager Bobby puis je pense que j’ai commencer a ressentir pour la première fois de ma vie un sentiment envers une personne. Au début nous étions amis, et quand Bobby a commencé a fourrer son nez dans notre relation – sans doute a cause de ces autruches en jupette qui ont dû courir lui dire que j’étais amie avec Tobby-, elle est devenue bien plus sérieuse. Je peux même dire qu’on sortait ensemble, dans les couloirs du lycée les gens se retournait sur notre passage. La sœur du quaterback sort avec l’étrange Saracen. Un vrai scoop, et en plus de ça ils ne se cachent pas. Sa faisait 1 an qu’on se connaissait, il avait aussi 1 an de plus, il allait quitter le lycée cette année normalement mais on ne voulait pas trop y penser.

La fin des examens avait sonner, j’avais décliner une invitation de Tim pour aller avec Tobby a une soirée. Je m’apprêtais a sortir, c’était samedi soir, maman était de garde a l’hôpital. Normalement Bobby avait inviter Lyla, des gars de l’équipe et d’autre cheerleaders, tout ce que je détestais. Je descendis les escaliers et pris la direction de la porte d’entrée quand Bobby s’interposa.
Skye ▬ « Excuse moi tu gêne. »
Bobby ▬ « Je t’interdis de sortir ! »
Skye ▬ « Fallait s’y attendre ! Messieurs a 18 ans et le voilà a interdire à sa soeur de 17 ans de sortir. Pathétique mon vieux si tu veux savoir. »
Bobby ▬ « Je plaisante pas. »
Skye ▬ « Si dans cette maison, il y a une personne qui doit m’interdire quelque chose c’est maman et devine quoi ? Elle ne l’a pas fait, et tu sais pourquoi ? Car elle sait que quoi qu’elle dise je fais ce que je veux. »
Bobby ▬ « Pourquoi lui ? »
Skye ▬ « C’était lui ou Tim. Mais en sortant avec Tim j’ai eu peur de devenir comme Lyla, une petit traînée qui couche avec les potes de son petit ami ! »
Bobby ▬ « Tu es une sale petit garce ! »
Skye ▬ « Merci du compliment, sa me touche venant d’une personne comme toi qui en connaît long sur le sujet. Alors ça fait quoi de passer devant Ethan ? Il y a pas trop de comparaison ? J’ai entendu dire qu’il était pas mal au pieu. »
Bobby ▬ « Si tu sors ce soir tu vas le regretter ! »
Skye ▬ « J’ai pas le cœur a jouer avec les pom pom et à faire le grand écart ce soir, désolé ! »
Il se poussa, j’ouvris la porte et me retrouvais sur le palier avec quasiment tous les joueurs et les cheerleader du lycée.
Skye ▬ « Pas trop de bêtise ce soir les enfants ! »
Je me mis a courir pour rattraper mon retard et au détour d’une rue, un homme m’attrapa et m’embrassa dans le cou. Je le pris par la main et Tobby et moi prirent la route pour une soirée mémorable. Alors que l’engueulade avec Bobby hantait encore mon esprit, j’essayais de comprendre le phrase de « Si tu sors ce soir tu vas le regretter. ». Nous avions décidé de prendre par le parc pour raccourcir le trajet, la nuit était calme et la température était parfaite. Une fois arrivée dans une petite clairière, quelque chose attira mon attention a ma droite, un éclaire, enfin plutôt le reflet d’une lumière sur un médaillon. Avant que je puisse comprendre, Tobby lâcha ma main et fut violemment plaqué a 2 mètre devant moi. Un homme habillé en noir le tenait au sol, je me précipitais quand quelqu’un m’attrapa par derrière et me serra très fort afin de m’empêcher de bouger. Il était grand et musclé, quand il me serrait trop, mes pieds quittaient le sol. Je criais le nom de Tobby a m’en irriter les cordes vocales. Très vite, nous fûmes encerclés, l’homme derrière moi m’attrapa le visage d’une main et me forçais a regarder Tobby en train de se faire battre par un homme. Je sentais les larmes brûlantes sur mes joues. Me débattant, je mis un coup, je ne sais comment dans le service 3 pièce de l’homme qui me retenait, il se plia en deux, mais garda son étreinte serré m’empêchent alors de respirer. J’aperçut un bout de chair et m’empressa de la morde. L’homme me balança a terre mais un autre arriva alors et attrapa mes bras pour me tirer en arrière, il dû me traîner sur 1 ou 2 mètres avant qu’un des gars ordonna de partir. On me relâcha, j’avais mal partout puis quand je pris réellement conscience de ce qui venait de se passer, je rassemblais mes forces pour aller voir l’état dans lequel était Tobby. Plus j’avançais plus je voyais l’état dans lequel il était, il ne bougeait plus. Je m’effondra a côté de lui, le retourna pour voir son visage. La terre et le sang c’était mélanger et étaient étalé sur son visage, il avait des feuilles dans les cheveux, j’essayais de retirer le plus gros, il était encore vivant. Malgré que je le suppliait pour qu’il se réveille, il ne le fit pas. Mon portable n’était pas dans mon sac et l’hôpital a bien 6 kilomètres mais je pourrais peut être atteindre une grande rue et trouver quelqu’un pour nous amené a l’hôpital. Une fois levée, je me positionna de façon a ce que mes pieds soit près de ses épaules, je passa mes bras sous les siens et le tirais ainsi sur plusieurs mètre, trébuchant et me relevant. Arrivé au bord de la route, une voiture s’arrêta, un homme accepta de nous amener à l’hôpital.

Ils le prirent en urgence, de tout le chemin il ne c’était pas réveillé. A peine 5 minutes après mon arrivée et l’admission de Tobby ma mère arriva en courant, elle prit mon visage entre ses mains pour vérifier si j’allais bien puis me prit dans ses bras. Elle me fit faire quelque examen, ensuite j’ai dû m’endormir sur un banc. A mon réveil le couloir était vide, j’étais tellement crade, sa aurait pu être drôle si les tâches n’était pas du sang.
J’ai dû annoncer l’agression a sa grand-mère. Après cette nuit, tout a été si vite, enfin pas vraiment, il est resté dans le coma 1 mois, j’étais a son chevet chaque jour et chaque nuit. Puis quand il c’est réveillé, on a apprit qu’il ne pourrait sans doute plus remarcher. Pousser en fauteuil roulant son petit ami de 18 ans est horrible mais ce qui m’attendais allait l’être encore plus.
Il avait réintégré la maison de sa grand mère. La rentrée était arrivé, je ne pouvais plus passer mes après midi a son chevet, Bobby était partit a la fac. Tout était si calme. Puis un soir, j’ai vu les ambulances, j’ai courus aussi vite que j’ai pu mais il était déjà sur le brancard avec un drap blanc sur lui. Sa grand mère me raconta tout, son suicide, comment elle l’avait trouvé.
Tout était finit, aussi inattendue que le commencement.


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MessageSujet: Re: SKYE ♦ over the rainbow   SKYE ♦ over the rainbow EmptyMer 21 Juil - 21:25

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7 ANS APRES

J’avais déserté le Shack pour ce soir, une petite pause pour me promener dans China Town et aller rendre visite a Devon. Je savais très bien que mon oncle était là ce soir, je savais qu’il était au golden dragon comme tout les mardi, jeudi, samedi et dimanche. Plusieurs voiture de police roulaient a une allure folle, la curiosité me força a les suivre, a pied mais elles étaient tellement nombreuse et bruyante que sa ne posait pas de problème. Arrivée une rue avant le Golden Dragon, je vue une dizaine de personne arrivée d’une ruelle en courant, l’une d’elle s’arrêta.
Cheyenne ▬ « Qu’est-ce qui se passe ? »
Debby ▬ «Cheyenne, il y a une descente, faut partir le plus vite possible, il y a eu des coups de feu, du sang, des morceaux de verre partout, on est sortit par la cave. »
Cheyenne ▬ « Et Harris ? Il va bien ? Enfin il y était ? »
Debby ▬ « Oui, il y était mais je l’ai perdu de vu, il a dû trouver une autre sortie. »
Une autre sortie ? Combien il y en avait ? Une fois sortit de mes pensées, Debby avait disparut. Je pris la direction du Golden Dragon en courant, me faufilant entre les journalistes et les curieux. Il sortait déjà les corps, un corps en dessous d’un drap blanc me renvoya le souvenir de Tobby, puis un main s’échappa du drap. Je sentis tout mon dîner remonté, je sortis de la foule et courut quelque rue, avant de me retrouvé seule, je ne pouvais plus me retenir, tout mon dîner tapissa le sol. Ce que je venais de voir était la pire chose, mais je n’étais pas encore réellement sûre, je pouvais me tromper. Après avoir prit un taxi qui me déposa devant chez ma mère, j’ouvris doucement la porte de la maison. Une fois dans la chambre de ma mère, je me déplaçais sur la pointe des pieds pour ne pas la réveiller, sur la coiffeuse, j’ouvris une petite boite, et malheureusement j’y trouvais la réponse qu’il me fallait.
Cheyenne ▬ « Maman. Maman. »
Maman ▬ « Chérie ! Tu as vu l’heure qu’il est ? Mais qu’est-ce que tu fais ici ?»
Je levais la bague devant ses yeux, mes yeux plein de larme, je n’osai pas la regarder.
Cheyenne ▬ « Combien y a-t-il de bague comme celle-ci ? »
Maman ▬ «Deux, celle-ci et une autre que possède Harris, et bientôt, celle-ci sera tienne et ton frère aura celle d’Harris.»
Cheyenne ▬ « Je suis désolée maman ! »
Maman ▬ «Désolé de quoi ?»
Cheyenne ▬ « J’étais a Chinatown tout à l’heure, le FBI y était, ils ont fait une descente au restaurant. Et, Harris y était. »
Maman ▬ « Mais non, tu dois te tromper. »
Je savais que quoique je puisse dire, elle ne m’aurait pas cru, j’allumais la tv au même moment un flash info spécial passait. Il y annonçait la mort du plus grand ‘criminel’ du moment, Harris Colfer, tué pendant une descente. Il aurait refuser de se rendre et aurait ouvert le feu. J’avais ma mère en larme dans mes bras, et je savais, je savais très bien ce que j'allais faire. Comme avec mon frère mon Tobby, toute ma vengeance c’était mise en place seule dans ma tête. J’étais prête, j’avais toute les connaissances, il fallait juste que je les utilise, ce que je n’allais pas tarder à faire.
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